De la liberté entrepreneuriale à l’accompagnement des artistes

Une enfance ouverte sur le monde et la beauté

Né dans les années 70, j’ai grandi dans un environnement heureux, ouvert, curieux. Très tôt, j’ai été attiré par l’art. Il n’y avait, à ma connaissance, aucun artiste dans ma famille — ou alors il était sacrément bien caché ! — mais cela ne m’a pas empêché de vouloir apprendre à dessiner et à peindre.

Mon talent n’était peut-être pas exceptionnel, mais le plaisir, lui, était immense. Créer me faisait du bien. Je me sentais vivant, aligné.

J’évoluais dans un foyer qui aimait les belles choses. Mes parents passaient du temps chez les antiquaires, assistaient à des ventes aux enchères, visitaient expositions et vernissages. Sans le savoir, ils m’ont transmis cette sensibilité à l’esthétique, à l’émotion, au beau.

L’appel de l’entrepreneuriat

Après une école de commerce internationale, je démarre ma carrière dans la grande distribution. Quelques années dans le management et la gestion de centres de profit, puis une rencontre bouleverse tout.

Une collaboration devient une amitié, et cette amitié donne naissance à ma première entreprise. J’ai 26 ans. L’aventure est fulgurante : en moins d’un an, 80 salariés, un succès exponentiel.

Je découvre alors une autre dimension de la vie : celle où l’on est libre de tracer son propre chemin. Chaque jour, j’ai le sentiment grisant d’être l’acteur principal de mon histoire.

Vendre pour recommencer

À 27 ans, ma jeune entreprise attire l’attention d’un géant du secteur. Un jour, le Directeur Commercial débarque dans mon bureau avec une offre que je ne peux pas refuser.

Je vends.

Non pas parce que j’en avais marre, mais parce que je savais que je pouvais recommencer. J’avais cette conviction profonde : si j’avais réussi une fois, je pourrais le refaire.

Et surtout, je voulais le faire autrement.


Je me suis arrêté. J’ai pris un paperboard, j’ai tout couché par écrit :

  • Ce que j’aimais faire
  • Ce que je ne voulais plus jamais revivre
  • Ce que je savais faire
  • Ce que je ne voulais pas apprendre

De cette introspection sont nées des décisions fondatrices :

  • Travailler dans un secteur à forte valeur ajoutée
  • Ne plus avoir à manager une grosse équipe
  • Mieux gagner ma vie

C’est là que j’ai choisi une nouvelle voie : celle des Ressources Humaines.


J’ai créé un premier cabinet de conseil en recrutement, puis un second, plus large, combinant formation, coaching, reclassement. Pendant plus de 20 ans, j’ai accompagné des milliers de personnes.

En les aidant à mieux se connaître, à trouver leur voie, j’ai aussi affiné ma propre compréhension de l’humain. J’ai appris à écouter, à voir au-delà des mots, à détecter ce qui bloque, ce qui libère.

Une dernière aventure, une nouvelle leçon

Ma dernière entreprise, consacrée à la Qualité de Vie et aux Conditions de Travail (QVCT), n’a pas rencontré le succès espéré.

Malgré un sujet pertinent, la plupart des dirigeants que j’ai approchés n’étaient pas prêts à investir dans le bien-être de leurs collaborateurs.

Échec ? Pas vraiment. Je crois fermement que chaque expérience, même difficile, nous enseigne quelque chose. Et cette expérience-là m’a remis sur un autre chemin… beaucoup plus personnel.


Pendant toutes ces années de travail intense, un refuge ne m’a jamais quitté : l’art.

Je me suis toujours ressourcé dans les galeries, les expositions, les musées. J’ai exploré des styles, des courants, des artistes. L’art m’a reconnecté à mon intériorité.

Et puis, il y a eu une rencontre déterminante : ma compagne, artiste elle-même. Grâce à elle et à ses pairs, j’ai plongé encore plus profondément dans l’univers artistique. J’ai observé. J’ai écouté.

Maureen cachée derrière une de ses oeuvres


J’ai vu des talents fous, des âmes créatives, des êtres lumineux
Mais aussi des personnes rongées par le doute, souvent prisonnières du syndrome de l’imposteur, persuadées qu’elles ne sauraient jamais « se vendre ».

J’ai compris que les artistes avaient besoin de soutien. Pas pour leur créativité — elle est innée — mais pour apprendre à :

  • Se positionner
  • Se faire connaître
  • S’assumer en tant que professionnels
  • Gagner leur vie sans perdre leur âme

Vivre de son Art : un pont entre deux mondes

C’est dans ce contexte qu’est né mon blog « Vivre de son Art ».

Ce n’est pas un projet parmi d’autres. C’est la convergence naturelle de tout mon parcours :

  • Ma passion pour l’art
  • Mon expertise en stratégie et entrepreneuriat
  • Mon savoir-faire en accompagnement humain

Je veux faire le lien entre le monde de l’Art et celui de la réussite professionnelle.
Et je crois, du plus profond de moi, que cette rencontre est non seulement possible… mais nécessaire.


Sur ce blog, je m’adresse à toi, artiste, créatif, passionné.
Je veux t’aider à :

Avec des contenus concrets, des défis, des outils, des formations, des témoignages…
Et une énergie constante : celle de la bienveillance et de l’action.


Je m’appelle Pierre BUSQUET et je suis convaincu que le succès se partage.
Alors ce blog, c’est aussi une communauté. Un lieu d’échange, d’inspiration, de soutien.

Parce que tu n’as pas à tout faire seul. Parce que ton art mérite d’être vu, compris, et reconnu.

Et surtout, parce que tu as le droit de vivre de ton art.


Prêt à te lancer ? Alors je t’invite à explorer, commenter, partager. Ce blog est pour toi. Ensemble, faisons de ta passion un projet de vie !

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Vivre de son art

Entrepreneur, formateur et coach, je suis passionné d'Art depuis plus de 20 ans. Avec ce Blog, je veux aider, conseiller et accompagner les artistes qui veulent vivre de leur travail.

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